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Un jeune curé, très angoissé, est incapable de prononcer un seul mot le jour de son premier sermon. Le lendemain il va voir l'archevêque et lui demande quelques conseils pour être à la la hauteur, au sermon du dimanche suivant. L'archevêque lui conseille alors de se verser quelques gouttes de vodka dans un grand verre pour se décontracter. Le dimanche suivant, le jeune prêtre suit le conseil et réussit à parler sans être paralysé et sans avoir le trac. De retour à la sacristie, il trouve une lettre laissée par l'archevêque ainsi rédigée :
> Mon Fils, la prochaine fois, mettez quelques gouttes de vodka dans un grand verre d'eau et non quelques gouttes d'eau dans la bouteille de vodka.
> D'autre part, je tiens à vous faire part des quelques observations suivantes afin que vous amélioriez encore un peu vos prochains prônes.
> 1) Il n'est nul besoin de mettre une rondelle de citron sur le bord du calice.
> 2) Évitez de vous appuyer sur la statue de la Sainte Vierge et surtout, évitez de l'embrasser en la serrant étroitement dans vos bras.
> 3) Il y a 10 commandements et non pas 12.
> 4) Les apôtres étaient 12, non pas 7, et aucun n'était nain.
> 5) Nous ne parlons pas de Jésus Christ et ses apôtres comme de "JC & Co".
> 6) Nous ne nous référons pas à Juda comme à "ce fils de pute".
> 7) Vous ne devez pas parlez du Pape en disant "Le Parrain".
> 8) Ben Laden n'a rien à voir avec la mort de Jésus.
> 9) Les murailles qui se sont effondrées au septième jour ne se trouvaient pas à Mexico mais à Jéricho !
> 10) L'eau bénite est faite pour bénir et non pour se rafraîchir la nuque.
> 11) Ne célébrez jamais la messe, assis sur les marches de l'autel.
> 12) Ponce Pilate a dit "vos histoires je m'en lave les mains", et non "vos conneries, je m'en bas les couilles".
> 13) Les hosties ne sont pas des gâteaux à apéritif à consommer avec le vin de messe.
> 14) Les pêcheurs iront en enfer et non "se faire enculer chez les papous".
> 15) L'initiative d'appeler les fidèles à danser était bonne, mais pas celle de faire la chenille dans l'église.
> 16) L'homme assis près de l'autel et que vous avez qualifié de "vieux pédé" et de "travelo en jupe", c'était moi...
> Sincèrement l'Archevêque.
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L’association franco ukrainienne organise sa 8e marche du Ban Saint-Jean ce dimanche 21 octobre.
Trois circuits de 8, 12 et 19 km sont proposés. Départ donné de la salle des fêtes de Niedervisse entre 8 h et 11 h.
Des explications et une exposition sur le camp de prisonniers du Ban Saint-Jean seront proposées aux participants.
On pourra se restaurer au prix de 9 € par adulte et 5 € par enfant (kir, tartiflette, salade verte et salade de fruits).
Réservations au 03 87 57 36 28 ou 06 27 99 02 67.
Un accoucheur s'occupe d'une femme qui attend des jumeaux.
Le premier bébé sort, c'est un superbe garçon : une tape sur les fesses et il pousse un cri vigoureux.
Mais le deuxième bébé tarde à vouloir sortir. Une heure passe, deux heures...
L'accoucheur dit à la sage femme qu'il part manger et de l'appeler quand il y aura du nouveau.
Dès qu'il est parti, la sage femme entend : psssst – psssssst
Elle distingue une petite main qui passe entre les jambes de la patiente et qui lui fait signe de venir !
Elle se rapproche de la femme et voit une petite tête qui pointe à l'orifice :
Il est parti le monsieur qui donne les fessées ????????
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transmis par Peint Art
Smirnoff, tel est son nom, fait des caprices depuis que sa maîtresse est de retour de vacances. Au grand étonnement de cette dernière, son chat ne veut plus de croquettes... C'est que pendant son absence, madameke avait goûté aux barbecues et autres barquettes chez les voisins.
Elle nous raconte - sa maîtresse - qu'elle avait confié son chat à quelqu'un de confiance... Ce qu'elle ne savait pas c'est que la personne supposée nourrir son chat, lui ouvrir la porte soir et matin, était adepte des LastMinute et que c'était pas son chat qui allait la retenir pour rejoindre des cieux plus cléments.
Ainsi Smirnoff, qui n'avait jamais appris à chasser, avait fini par assurer sa survie en allant quémander chez les voisins.
NOSTRA CULPA ! MEA CULPA !
Depuis lors, Smirnoff passe non seulement ses journées chez nous mais, depuis quelques jours, semble avoir aussi envie de découcher voire de changer de crèmerie... Nous voilà bien embarrassée. La nuit tombée, elle se réfugie sous la table de jardin, là où elle est protégée de la pluie et du vent, de là où elle peut surveiller la maisonnée et chasser les intrus, nombreux en l'occurrence.
Hier, c'était un gros matou tigré qui fut l'objet de son ire. Il quitta les lieux avec la queue entre les jambes (voir vidéo). Ce matin, un autre tigré - que nous n'avions jamais vu jusqu'à ce jour - a osé s'approcher. Ce n'était pas le gentil tigré à bavette blanche qui nous rend visite de temps à autre. Smirnoff devait le ou la connaître; elle semblait moins véhémente; elle n'a pas craché, juste maintenu une certaine distance...
Amateurs de molosses, de cane corso plus précisément, ne cherchez plus ! Ce joli petit monde réside à Hestroff.
Nous avons croisé dernièrement Ganache, 17 mois, de sortie avec ses géniteurs Goliath et Bianca.
Leurs balades préférées seraient au bois d'Edling et le Hohwald vers la Croix Rouge ou le château d'eau.
Originaire des Pouilles, le talon de la botte italienne, le cane corso serait un excellent chien de garde. Calme, loyal et fidèle, ce dogue a besoin de se dépenser. A ceux ou celles qui rêvent d'un bodyguard... faudra leur rappeler que le cane corso aime avoir de la place et faire de longues promenades.
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http://domainedesforts.chiens-de-france.com
Passer le dimanche à la Providence, ça peut être cool, surtout si on y tourne un film. Une dizaine de lycéens ont tenté l’aventure en compagnie de Jérôme Jacob, réalisateur d’Hestroff, qui tournait des scènes du Berceau des ombres.
par Claire PIERETTI. le 05/10/2012 à 05:00
C’était une occasion unique de découvrir les coulisses d’un tournage. Le réalisateur de Hestroff, Jérôme Jacob, a planté sa caméra au collège de La ...
par le 05/10/2012 à 05:00
Après un premier long-métrage, Rothenberg, Jérôme Jacob, le réalisateur originaire de Hestroff, près de Bouzonville, tourne actuellement son second film, le Berceau des ombres. Sortie prévue en juin 2013.
par Claire PIERETTI. le 01/10/2012 à 05:00
« Non, la couleur-là, ça n’ira pas. » Le pull bleu turquoise ne sortira même pas de son emballage. Le réalisateur Jérôme Jacob a une idée encore ...
par C.Pi. le 30/09/2012 à 05:00
Dix élèves de l’institut de la Providence de Bouzonville ont été retenus pour jouer les figurants dans le prochain film de Jérôme Jacob, Le Berceau des ombres, dont le tournage a déjà débuté.
par Nicolas THIERCY. le 27/09/2012 à 05:00
L’excitation est à son comble. Dimanche après-midi, le réalisateur Jérôme Jacob, originaire d’Hestroff, revient à Bouzonville tourner quelques rushs ...
par le 27/09/2012 à 05:00
Fraaleit off der Bühn... avec Gisèle et Yvette de Gau un Griis
Après la fonction publique, voilà peut-être une nouvelle carrière qui s'offre à Gisèle et Yvette fraîchement pensionnées... Cette pensée... a-t-elle traversé la tête de nos vedettes d'un soir ?
Gilbert Magar, metteur en scène, avec Gisèle et Yvette © 29 septembre 2012
Nous sommes à Feldsberg. Fraaleit off der Bühn y donnent une représentation. Pour l'événement, la Sarre d'avant 1815 s'est acoquinée avec le pays de Nied représenté par Gau un Griis. N'étaient-ils pas cousins avant de devenir rivaux ? Ne s'expriment-ils pas dans la même langue, le francique mosellan, qu'on cause des confins du pays messin jusqu'à Coblence, là où la Moselle se jette dans le Rhin ?
Au programme, Liedern mét Martina Gemmar onn Sandra Bronder, Gedichte onn Texte von Ursula Kerber onn Gisela Bell et... le sketch Gau un Griis avec Gisèle Schneider-Masson de Hestroff et Yvette Jacob de Teterchen-Bouzonvlle.
Le public est accueillant. Les supporters de Gau un Griis ont néanmoins le trac. Les Gedichte et Liedern, textes très littéraires, sont applaudis poliment. Que va-t-il advenir du sketch basé essentiellement sur notre ruralité profonde... ? La veille, nos futures stars ne maîtrisaient pas encore leur texte... nous avait-on rapporté. Que va-t-il se passer ? Il faudrait absolument que nos actrices néophytes arrachent à la salle un premier fou rire... Ensuite, même si elles devaient s'emmêler les pinceaux... la partie sera sûrement gagnée.
Madame Chic et Madame Choc en scène © Feldsberg 29 septembre 2012
Dès son entrée en scène, Madame Choc, arborant la tenue préférée de nos mères et grand-mères, sans ouvrir la bouche, déclenche l'hilarité de la salle. En montant sur scène, ne vient-elle pas de trébucher sur une jupe pas tout à fait ajustée à sa taille ? Heureusement, notre Gisèle, déjà entrée dans la peau de son personnage, la remonte avec tant de "délicatesse" que ce simple geste lui vaut immédiatement l'adhésion du public.
Ensuite... le dialogue entre Chic et Choc s'installe. Tout va bien. Les rires recommencent à fuser quand Madame Choc évoque Mouchy, Mouchy en scandant 3 x As-salâm 'aleïkoum. A chaque salamalec, ne sommes-nous pas nous-mêmes pliée en deux ? La Gizou, sa gestuelle parlant pour elle, finira bien par nous fait mourir de rire.
Et puis patatras ! Un ange passe... La Yvette vient de se répéter 3 X, la Gisèle en perd le nord... Mais coup de génie, elle s'adresse à la salle en cherchant son mentor du regard et le prie de la remettre en selle .. Gilbert ! wie géét de dann waïdaa ? Applaudissements à n'en plus finir. Le public est conquis.
Chic et Choc, galvanisées par la foule, comme chez Ruquier, ne rateront pas leur sortie et seront chaudement félicitées par le bourgmestre d'Überherrn en personne avant de fêter leur prestation avec leur metteur en scène et les nouveaux amis qu'elles viennent de se faire à Felsberg.
Fin de soirée et derniers verres avec les nouveaux amis sarrois