Deux autres circulaires émanant des ministères de la Fonction Publique et des Affaires Sociales datant de 1974 demandent la suppression, dans les courriers et documents officiels, des mentions telles que Madame veuve X, épouse divorcée de Z, et de toutes précisions ou appellations susceptibles d’être discriminatoires ou indiscrètes.
Une réponse ministérielle du 3 mars 1983 indique que «l’existence de deux termes différents pour désigner les femmes mariées et celles qui ne le sont pas, constitue une discrimination à l’égard des femmes puisqu’une telle différenciation n’existe pas pour les hommes».
Le mariage confère-t-il une valeur différente à la femme alors que la valeur de l'homme n'est pas affectée par cet acte juridique et social ?
Conclusion : une jeune octogénaire célibataire et mère de famille continuera à s'appeler dans les actes Mademoiselle !