Ephèse, dans l'Antiquité, a déménagé trois fois.
La ville la plus ancienne était dominée par la colline d'Ayasuluk où on visite de nos jours la Basilique saint Jean, la mosquée d'Isa Bey et les ruines de l'Artémision.
Selon les archéologues, on y trouve des traces remontant au 3e millénaire avant JCN.
Le bus 49 avec nos beautés d'ébène, Aline et les autres à l'entrée du site d'Ephèse
Beauté belgo-africaine pour casting peplum
Dans Ephèse, il fut autrefois
Une dame en sagesse et vertus sans égale,
Et selon la commune voix
Ayant su raffiner sur l'amour conjugale.
Il n'était bruit que d'elle et de sa chasteté :
On l'allait voir par rareté :
C'était l'honneur du sexe : heureuse sa patrie :
Chaque mère à sa bru l'alléguait pour patron ;
Chaque époux la prônait à sa femme chérie ;
D'elle descendent ceux de la prudoterie,
Antique et célèbre maison.
Son mari l'aimait d'amour folle.
Il mourut. De dire comment,
Ce serait un détail frivole ;
L'Odéon : Aline, Josée, Maryse, Isabelle et les autres à l'écoute de Sahin alias Sunshine
La seconde ville, construite 3 siècles avant JCN, se trouve à 3 km au delà de l'ancienne autrefois plus près de la mer sur le flanc de la montagne Bülbül Dağ anciennement Koressos.
La ville hellénistique et romaine que nous visitons de nos jours n'est que le 3e déplacement. C'est aussi la partie la mieux conservée et la mieux dégagée même si à ce jour elle ne représente que 15 % de la ville enterrée.
Une jeune Japonaise plus fascinée par les chats que par les ruines d'Ephèse