4 septembre 2009
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Voilà deux noms qui rappellent les prés orthographiés "preys" au 17e. Pourquoi 2 lieux et 2 noms différents pour cette langue de terre qui s'étale à l'est du ban de Piblange entre la route de Metz et la Piblangerbach jusqu'au "chemin" qui la sépare de la Gueissenmillen ?
Vrai que nos "pâturages" paraissent, vues d'avion, plus grises (grau) que celles plus au nord qui s'appellent Kelborn, Metzerwiese (les Prés de Metz)...
Aucune référence à ces terres dans le pied terrier de 1687, du moins pas au niveau des possessions de NADé et consorts. Faudrait étudier les pieds terriers des Sieurs DILANGE, tabellion et Ignace ALEXANDRE, curé.
A peine une mention à Kelborn au nord de Grauwiese :
TROIS QUARTS à la première livraison de devant le moulin voyer Louis Dalstein d'une part et Louis Cordonnier d'autre qui ont de largeur sur le chemin du moulin deux verges un quart et sur Kerbonne deux verges
Vrai que nos "pâturages" paraissent, vues d'avion, plus grises (grau) que celles plus au nord qui s'appellent Kelborn, Metzerwiese (les Prés de Metz)...
Versant nord de la route de Metz avant le carrefour Streiffel vers Drogny. Grauwiese pas si gris que cela...
Aucune référence à ces terres dans le pied terrier de 1687, du moins pas au niveau des possessions de NADé et consorts. Faudrait étudier les pieds terriers des Sieurs DILANGE, tabellion et Ignace ALEXANDRE, curé.
A peine une mention à Kelborn au nord de Grauwiese :
TROIS QUARTS à la première livraison de devant le moulin voyer Louis Dalstein d'une part et Louis Cordonnier d'autre qui ont de largeur sur le chemin du moulin deux verges un quart et sur Kerbonne deux verges