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6 septembre 2009 7 06 /09 /septembre /2009 00:00

Au nord de Grauwiese et à l'est de la 55, on trouve le Mess qui correspond à notre Kipp contemporaine, ancienne voie ferrée désaffectée, (re)devenue propriété communale et décharge publique pour gravats.

Au sud-est du Mess on trouve Kelborn puis Metzerwiese (les Prés ou la Prairie de Metz) séparé de Grauwiese par la Piblangerbach.

Mess, Kelborn et Metzerwiese en venant du Streiffel

Comme nous l'avons vu précédemment pour Grauwiese, seul Kelborn est cité dans le terrier de 1687 :


TROIS QUARTS à la première livraison de devant le moulin voyer Louis Dalstein d'une part et Louis Cordonnier d'autre qui ont de largeur sur le chemin du moulin deux verges un quart et sur Kerbonne deux verges

Mess, Kelborn et Metzerwiese en venant d'Anzeling

NB : En 1687 on lit Kerbonne... Le lieu est cadastré au 21e Kelborn. L'aborneur souffrait-til de dyslexie ? Il faudrait revoir comme dans d'autres cas le cadastre du 18e.
Mais signifie donc Ker ?
Quant à "Born" signifiant fontaine, on peut supposer qu'on y avait capté une source pour abreuver le bétail.


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5 septembre 2009 6 05 /09 /septembre /2009 05:29
La Geissenmillen, cadastrée Geismühle, a connu diverses graphies au cours du temps.

C'était un moulin à farine dont le déclin s'est amorcé à la fin du 19e siècle.


Dans les Moulins et Meuniers du Pays de Nied de Jean-Michel BENOIT de Falck on peut lire qu'à Hestroff la Geissenmillen ou Moulin des Chèvres rapporta un cens annuel de 30 francs et 52 quartes de froment à la princesse Henriette de Lorraine en 1635.

En 1691, le meunier Mathis NENNICH et Barbe NADé, son épouse, vendent à Me MILLOT, notaire royal de la prévôté de Freistroff, un quarteron de terre sis sur la digue du moulin.
Le moulin est reconstruit par Privé NENNIG, déjà meunier à Gomelange. Son canon, consistant en 4 quartes de blé, est payable à la Saint-Martin. En 1703, le meunier doit payer 20 livres de rente à la prévôté de Boulay. Le 8 janvier 1713, Jean-Pierre ZELLE, meunier à Hestroff, prend pour 9 ans, le bail du moulin d'Aboncourt.

En 1830, le Sieur SCHOULLER est meunier à la "Geissmühle". En 1851, il répare les vannes; à cette époque, la propriétaire est Mme REMY. Vers 1860, François SCHOULLER achète l'usine, mais en 1870, les ouvrages régulateurs ne sont toujours pas conformes aux prescriptions de l'arrêté préfectoral du 8 octobre 1852. En 1878, Jean GOBY est le nouveau propriétaire de cette usine, dont l'exploitation cesse en 1918.


La Mèedelsbach ou le Fossé du Botzing tel cadastré à la hauteur de la Geissenmillen

Des RP de la paroisse de Hestroff on peut relever d'autres propriétaires, notamment Pierre MAILLARD né vers 1694, décédé et inhumé à Hestroff en juillet 1783. Pierre avait épousé Catherine LAPICIDA, fille d'une autre dynastie de meuniers.

Le couple a six enfants dont Elisabeth et Angélique.

Elisabeth se marie avec Pierre FUCHS, FOX, FOUSSE. A son décès en 1763 (B6749) il y eut inventaire qui mentionne qu'elle laisse cinq enfants, "que Jean FOX a acheté avec elle la moitié du moulin, part de Sébastien MAILLARD. Jean FUCHS a également acheté l'autre moitié de son beau-père Pierre MAILLARD. Il lui verse une pension alimentaire et un cens annuel".


Angélique épouse Jodocus ou Jost SCHNEIDER, attesté meunier à Hestroff en 1745, dont 6 enfants. Est-elle l'ancêtre des Schneider d'Edling-Anzeling ?

Outre les meuniers déjà cités, il faut également mentionner les passages plus ou moins brefs de

  • Pierre NENNIG °1656,
  • Jean TRANSBERGER °1669 +1758, maître meunier de 1698 à 1710,
  • Jean DEPENWEILLER né en 1726 à Gomelange et meunier à la Geismühle à partir de 1759
  • Jean Louis Auguste GOBY °1879 + 1951, fils de Jean cité plus haut, dont descendance sur Hestroff.
La Geissenmillen au bord de la Route de Metz

NB : Mathias NENNIG et Barbe NADé ont quitté Hestroff pour s'installer à Niedaltroff en 1694. Mathias y décède en 1703 et laisse 4 orphelins, dont Dominique né à Hestroff en 1694 peu avant son départ de la Geissenmillen. Barbe se remarie avec un certain Pierre WEISSE, cité vigneron à Hestroff en 1703 puis meunier puis manoeuvre en 1714. Barbe NADé décédera à Anzeling en 1729.
La photo parue dans l'ouvrage de référence n'illustre pas le moulin tel qu'il était. Le moulin a été rasé par son nouveau propriétaire, architecte à Metz (son nom nous échappe pour l'instant) et généreux donateur de la commune dans les années 1970. Il a reconstruit à la place du moulin une maison lorraine et créé un étang.



 











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4 septembre 2009 5 04 /09 /septembre /2009 05:27

Le 4 septembre 1939, la Royal Air Force attaque la flotte allemande à Wilhelmshaven et bombarde le canal de Kiel.

 

Wilhelmshaven ("Le Port de Guillaume") est une ville portuaire de Basse-Saxe en Allemagne, qui abritait un chantier naval militaire. On y construisait torpilleurs et sous-marins.

Le Nord-Ostsee-Kanal ou le canal de Kiel est le canal qui relie la Mer du Nord à la Mer Baltique.

Long de 98 km, ce canal permet un raccourci de plus de 500 km en traversant le Jutland.

Avec plus ou moins 120 bateaux par jour en moyenne, il est la voie d'eau non naturelle la plus fréquentée au monde.


Après la 1ère guerre mondiale, le traité de Versailles avait internationalisé le canal tout en le laissant sous administration allemande. Hitler annula le statut international en 1936.

Depuis la fin du dernier conflit, le canal est à nouveau ouvert à toute embarcation.


 

Hestroff se réveille à Saint-Privat-la-Montagne pour se rendre à Fresnes-en-Woëvre...

 

 


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4 septembre 2009 5 04 /09 /septembre /2009 00:00
Voilà deux noms qui rappellent les prés orthographiés "preys" au 17e. Pourquoi 2 lieux et 2 noms différents pour cette langue de terre qui s'étale à l'est du ban de Piblange entre la route de Metz et la Piblangerbach jusqu'au "chemin" qui la sépare de la Gueissenmillen ?


Vrai que nos "pâturages" paraissent, vues d'avion, plus grises (grau) que celles plus au nord qui s'appellent Kelborn, Metzerwiese (les Prés de Metz)...

Versant nord de la route de Metz avant le carrefour Streiffel vers Drogny. Grauwiese pas si gris que cela...

Aucune référence à ces terres dans le pied terrier de 1687, du moins pas au niveau des possessions de NADé et consorts. Faudrait étudier les pieds terriers des Sieurs DILANGE, tabellion et Ignace ALEXANDRE, curé.

A peine une mention à Kelborn au nord de Grauwiese :

TROIS QUARTS à la première livraison de devant le moulin voyer Louis Dalstein d'une part et Louis Cordonnier d'autre qui ont de largeur sur le chemin du moulin deux verges un quart et sur Kerbonne deux verges


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3 septembre 2009 4 03 /09 /septembre /2009 00:00

La route de Metz, soit la D3,  à la sortie du Bois de Gondreville s'appelle, en sous-couche, la "rue des Quatre Vents" jusqu'au carrefour Piblange/Bockange. Au delà de ce carrefour, cette route est cadastrée "le chemin de Metz à Bouzonville".

Le chemin de Metz à Bouzonville traverse d'ouest en est le ban de Piblange et s'arrête quasi au ban de Hestroff, bordé au nord par Grauwies et au sud Gravat. Au delà à partir du milieu de Grauwies et à partir de Gravatte... elle s'appelle "route départementale n°3"...


Cette route départementale n° 3 délimite au nord (vers Hestroff) une partie de Grauwiese, puis Grouwies, puis la Geismühle, Kleeplatz et le Colvert.

Au nord (vers Gomelange), Gravatte (qui appartient au ban de Hestroff alors que Gravat déjà cité c'est Piblange), Dordatz et Hochness séparé par un chemin de Sous Ligne Maginot qui appartient à Anzeling.


Tout cela étant bien laborieux... rien de tel qu'un bon dessin !





NB : Le Bois de Gondreville, forêt domaniale de Villers-Bettnach, fait frontière avec le pays de Nied et le pays messin et les parlers francique mosellan et roman. Il suffit de lire les parcelles qui borde la D3 d'est en ouest de l'entrée du bois jusqu'à Gondreville :

  • au nord : La Grande Garde de Villers, Le Friche du Loup, La Haie du Tremble, La Grande Pièce
  • au sud : Coupe de Bockange, La Fouchère, Sacker (petit réminiscence francique), Tholay, Les Grandes Friches, La Blanche Raye, Sur la Taille d'Allemand Sortie du Bois de Gondreville : ici on a quitté le pays messin pour s'enfoncer en pays francique vers le carrefour Streiffel et Anzeling

  • Route de Metz - le Chemin de Metz à Bouzonville - en venant d'Anzeling à la hauteur de la Geissenmillen





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1 septembre 2009 2 01 /09 /septembre /2009 00:00
Tout le monde pouvait et peut toujours consulter le cadastre en mairie. On ne s'y rend cependant que pour en obtenir un extrait cadastral des terre(s) ou maison(s) qu'on possède.

Point le temps d'aller fouiner chez les voisins...

Avec Geoportail, c'est le pied ! Que de découvertes ! L'espace et le temps n'auront bientôt plus de secrets, du moins nous l'espérons.

Saviez-vous que la  "route principale" de Hestroff n'était qu'un tronçon de la départementale 55 cadastrée ""de Hagondange à Merten" ???


La D55 à la hauteur du Streiffel


Alors n'est-ce pas la D55 à être une aberration plutôt que le Streiffel cher Jean-Luc ? Si elle avait suivi l'ancien tracé du 18e... Merten aurait économisé 7 km au moins pour se rendre à Hagondange et Hestroff-Aboncourt aurait été la passerelle naturelle entre la Nied et la Canner vers la Moselle ...













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31 août 2009 1 31 /08 /août /2009 00:00
Le Streiffel n'appartient pas à Hestroff mais à Piblange. Alors pourquoi en parler ?


Le carrefour du Streiffel a connu beaucoup d'activités lors du dernier conflit 39-45. Les soldats y cantonnés venaient s'abreuver à Hestroff.

Vers les années 50 y subsistait encore un petit bistrot au plafond bas dont le tenancier s'appelait BAJOLET. Aux portes de l'estaminet s'arrêtait le bus SCHIDLER qui faisait le trajet Bouzonville-Metz, remplaçant le train qui permettait avant 1944 de rejoindre "la capitale".

Streiffel en venant de Metz

SCHIDLER s'y arrête toujours mais un peu plus loin, le carrefour ayant été réaménagé pour offrir plus de sécurité. Le carrefour du Streiffel avait et continue à avoir mauvaise presse à cause de tous les accidents dont il a été le théâtre.



Eh oui, c'est presque une aberration que ce pâté de maisons ne soit pas en commune de Hestroff. Tous les enfants qui y ont habité (Loeffler, Fencl, Serrano,...) venaient à l'école communale d'Hestroff dans les années 60 et 70 !
Qu'en est-il aujourd'hui ?

Jean-Luc DODELLER

Ben oui Jean-Luc, le Streiffel n'est mentionné nulle part dans les divers pieds terriers datés du 17e et du 18e ni ne figure sur les cartes Naudin. C'est en relisant Gérard COLLIGNON, qui en 1998, lors de la reconstitution des habitants de la commune de Piblange et ses annexes, qu'on peut découvrir que les écarts du Streiffel, d'abord dénommé "des quatre vents" et du "château" aujourd'hui disparu, seraient nés au cours du 19e.

Limites administratives des bans de Hestroff et Piblange

C'est vrai que les enfants du Streiffel ont tous fréquenté l'école communale de Hestroff, du moins avant regroupement scolaire Hestroff-Edling.

Dernièrement les époux FENCL souhaitant scolariser leur fils aîné à Edling-lès-Anzeling se sont vus refuser l'accès au bus qui dessert cette école et qui passe devant leur domicile pour cause de réglementation départementale stricte... qui stipule que leur lieu de scolarisation «naturelle» est Piblange.










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30 août 2009 7 30 /08 /août /2009 00:00
Pfaffenacker prend sa source dans le latin Papa = père (par extension le curé) et Acker qui signifie champ.

Le Pafnacka vu du Metzler avec le Weiler en avant-plan

Le  Pfaffenacker se situe entre Weiler et le Moulin, soit entre la route communale Hestroff-Piblange et le moulin à étoupe appelé la Mollenmillen, à l'ouest de la route qui mène au Streiffel. Tout le monde, du moins l'ancienne génération, connaît le Pafnacka... soit notre  terrain de foot.
Nos mères ne grondaient-elles pas leurs fils revenant du terrain de foot tout crottés : "kémscht de noo mool fèm Pafnacka sréck ?"

Le
"pastural du Pafnacker " faisait-il partie en 1687 du terrier du "domaine de  la cure" page 18 ou du terrier du Sieur Alexandre, curé, page 24  du pied terrier d'Eistroff ?

DEMY JOUR à la première livraison de dessus l'estang du moulin voyer Louis Cordonnier d'une part et le pastural de Pafnaker d'autre quy doit avoir de largeur à chacun bout trois verges un bon pied.

TROIS QUARTS à la même livraison voyer le Sieur Alexandre d'une part et Louis Dalstein d'autre part qui ont de largeur à chacun bout trois verges un bon pied.

TROIS QUARTS  à la seconde livraison, de dessus l'estang du moulin voyer Louis Dalstein d'une part et la Cure d'autre part quy ont de largeur à chacun bout trois verges trois quarts un pied.

DEMY JOUR à la cinquième livraison de dessus l'estang du moulin voyer le Sieur Dilange et consors d'une part et faisant contour au bout d'en haut d'autre part quy doit avoir de largeur sur le grand chemin deux verges et demy et à l'autre bout une verge trois quarts.

TROIS QUARTS à la première livraison de devant le moulin voyer Louis Dalstein d'une part et Louis Cordonnier d'autre qui ont de largeur sur le chemin du moulin deux verges un quart et sur Kerbonne deux verges.


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28 août 2009 5 28 /08 /août /2009 12:34

Un moulin à Hestroff est cité en 1600 et en 1621 parmi la dizaine de moulins de l'office de Sierck (AMM B9430). En 1625, il rapportait à la princesse Henriette de Lorraine un cens de 30 francs et 52 quartes de froment (AMM B3638).
AMM = archives départementales de la Meurthe et Moselle

Source : Alfred LOUIS pour le compte du CG571

Mais de quel moulin s'agissait-il ? De la Geissenmillen, cadastré Geismühle, dont nous parlerons plus tard ou de la Warschmühle située entre le Pfaffenacker et Streiffel ?
Il doit s'agir du Moulin des Chèvres où nous avons pu y noter, selon les registres paroissiaux, une succession de meuniers tels Mathias NENNIG, Jean TRANSBERGER, Pierre NENNIG, Pierre MAILLARD, Jodocus SCHNEIDER, beau-fils du précédent, Martin KÖNIG, Jean DEPPENWEILLER, Nicolas LAPICIDA, Jean FUCHS aussi beau-fils de Pierre MAILLARD, etc, Cette liste n'est pas exhaustive, le dernier meunier du XXe ayant été GOBY, dont progéniture.

Le moulin dit "Warschmühle",   sans doute parce qu'il fournissait de l'étoupe, de construction plus récente, serait clairement évoqué dans des écrits dès 1817. Quoique... Dans le pied terrier l'estang du moulin avoisine avec le pastural de Pafnaker... (voir ci-dessus et ci-dessous) c'est-à-dire notre actuel terrain de foot... C'est donc que ce moulin existait déjà à la fin du 18e. 
En 1866, M. Pierre MOLL se plaint des prises d'eau que font les riverains pour irriguer les prairies. Cette usine, réglementée le 16 avril 1883, était encore en activité en 1920, mais s'arrêtera peu après. Le moulin gardera toutefois le nom de son propriétaire : Mollenmillen...
Source : Moulins et Meuniers des Pays de la Nied, Jean-Michel BENOIT

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Derrière le Moulin, Warschmühle sont séparés des Prés du Moulin de Hestroff qui donnent sur le Streiffel, frontière avec le ban de Piblange matérialisée par le ru éponyme, cadastrée Piblangerbach, mieux connu comme la Mollenbach.

Extrait du pied terrier de 1687
DEMY JOUR à la première livraison de dessus l'estang du moulin voyer Louis Cordonnier d'une part et le pastural de Pafnaker d'autre quy doit avoir de largeur à chacun bout trois verges un bon pied.

TROIS QUARTS à la même livraison voyer le Sieur Alexandre d'une part et Louis Dalstein d'autre part qui ont de largeur à chacun bout trois verges un bon pied.

TROIS QUARTS  à la seconde livraison, de dessus l'estang du moulin voyer Louis Dalstein d'une part et la Cure d'autre part quy ont de largeur à chacun bout trois verges trois quarts un pied.

DEMY JOUR à la cinquième livraison de dessus l'estang du moulin voyer le Sieur Dilange et consors d'une part et faisant contour au bout d'en haut d'autre part quy doit avoir de largeur sur le grand chemin deux verges et demy et à l'autre bout une verge trois quarts.

TROIS QUARTS à la première livraison de devant le moulin voyer Louis Dalstein d'une part et Louis Cordonnier d'autre qui ont de largeur sur le chemin du moulin deux verges un quart et sur Kerbonne deux verges.




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28 août 2009 5 28 /08 /août /2009 00:00
Retter et Retter Berg se situent au nord-ouest de Botzing, au nord-est de Piblange au-dessus des Pivlinga Wéngaaten cadastrés Vingertsberg, Stein, Gemeinevingert, Veitervingert, Rottsenwein, Herrenvingert, Land End et Vignes...

Les vignes de Piblange, cadastre actuel


Vue du Metzler sur Potenrerei, Krutten et  Retter d'où on pouvait entendre chanter les coqs de Piblange...


Veiler ou Weiler ou Weiller, dont Derrière Veiler et les Tournailles de Veiler, est séparé du Pfaffenacker au sud par la route communale Hestroff-Piblange.




Neuf quarts à la livraison des Courtierres de Retter voyer Jacob Charon d'une part et faisant contour à Retter d'autre quy ont de largeur sur les Vignes vingt deux verges et à l'autre bout dix huict verges et demy.

Un jour et demy à la première livraison du haut de Retter voyer le Sieur Dilange et consors d'une part et le Sieur Alexandre d'autre quy ont de largeur à chacun bout six verges et demy.

Un jour et demy à la livraison de la Derrier Vueiller voyer Jean Masson et consors d'une part et le Sieur Dilange et consors d'autre quy ont de largeur vers Piblange six verges un tiers et sur Vueiller six verges un quart.

Trois quarts à la mesme livraison voyer le Sieur Alexandre d'une part et Monsieur l'Abbé d'autre quy ont de largeur vers Piblange trois verges un tiers et sur Vueiller trois verges un pied.


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  • : Hestroff, village de la Moselle francique
  • : Hestroff avant, pendant, après, de 1680 à 1789, 1939-45, 2009, 2010, 2011. Ses habitants, son histoire, sa généalogie, son actualité. Histoire et généalogie pays de Nied, Metz, Moselle
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